L’histoire de la Salsa remonte à la fin des années 60 et son origine est le résultat de l’intégration de différents rythmes musicaux afro-cubains et étrangers. La guaracha, le son, le guaguancó, le mambo et le chachacha, ne sont que quelques-uns des ingrédients du plat. Cuba a profité de chacune des saveurs laissées par ses ancêtres (africains, espagnols, anglo-saxons).

C’est à Cuba que cette danse est née. Mais c’est à New York qu’elle s’est développée et lancée dans le monde entier. Ce nouveau style a été traîné dans d’autres régions d’Amérique, qui n’ont pas tardé à ajouter leurs propres ingrédients. La combinaison de genres de musique caribéenne, avec d’autres rythmes américains comme le jazz, a apporté aux pistes un singulier genre musical dansant : la Salsa.

Une fois définie comme genre musical dans les années 70, les mouvements et les pas de sa danse ont été recueillis par une fusion de l’africain avec l’européen. Les pas et les mouvements reflètent essentiellement l’influence des danses que les Africains apportèrent aux Caraïbes et les danses européennes qui se dansaient à Cuba depuis les années 30. À tel point que ses pas de base sont précisément les mêmes pas du son cubain, tout comme il recueille des pas qui peuvent être vus dans la rumba, le danzón et le mambo.

Le choix du mot comme nom de ce style musical reste très confus dans son histoire. Et c’est que le choix du mot est attribué à diverses causes, toutes très convaincantes. On raconte que le mot “Salsa” (sauce) fait allusion au mélange d’assaisonnements utilisé pour assaisonner les repas. Une analogie à ce genre musical dansant qui renferme dans son essence une combinaison de styles musicaux.